Pour rivaliser le choc de la pandémie !

Zoya BARAKAT
Mardi 27 avril 2021
Organisateurs


Après avoir projeté  les répercussions négatives de la pandémie sur l’éducation, l’interaction sociale et la vie à la maison. Des actions se sont révélées utiles dans le but  de lutter contre la diminution du développement et pour soutenir l’enfant fraîche  durant cette période difficile qui tracasse l’humanité.

Le début de tout soutien commence par écouter les autres pour les aider. Alors que dire des enfants ? L’encouragement à exprimer leurs émotions, à verbaliser leurs souffrances et à avouer leur peur et angoisse, ouvrent un espace potentiel pour le défoulement de l’enfant et sa liberté de cette anxiété. C’est pour cela qu’il faut partager avec l’enfant les difficultés communes et l’assurer que les obstacles seront dépassés ensemble par amour. 

En coordination avec l’espace d’expression et de partage, les membres de la famille doivent identifier les besoins de chacun d’entre eux pour le bien-être commun. Il faut donc laisser l’enfant détecter  ses besoins et ses ressources seul pour en sortir avec des mécanismes bien adaptés à son épanouissement et son agrément. 

Par ces stratégies adoptées, l’enfant commencera petit à petit à s’adapter à la situation sauf qu’il faut être honnête en plus et lui répondre clairement à toutes questions posées à propos de ce virus, du confinement ou de la pandémie. Il ne faut surtout  pas le choquer par des recherches scientifiques, mais réclamer le nécessaire et le pertinent à sa compréhension intellectuelle. 

En réglant les problèmes psychiques et mentaux,  les troubles physiques ou alimentaires marquent leur présence. Ceci  doit élaborer l’attention des parents vers la surexposition à l’enfant aux écrans ou l’addiction aux réseaux sociaux. Alors, des règles peuvent être mises en place pour  éviter l’utilisation excessive des appareils électroniques. Aussi des échanges hebdomadaires face à face ensemble comme une famille unie peuvent prendre parole pour éviter cette surutilisation. Et déposer l’enfant de nouveau dans « des bulles sociales » et des interactions i progresse son développement qui a été cassé par la distanciation sociale.

À saisir qu’entamer une routine durant cette pandémie révèle d’une bonne attitude envers le développement de l’enfant. Il a besoin d’une routine pour se sentir dans un monde semi-normal  selon ses pensées. Lâcher l’enfant de son monde et de sa façon de vivre à cause du virus n’est pas abordable. Alors le faire vivre de nouveau un type de routine ciblé le rassure que ce n’est pas la fin du monde. Donc l’organisation de la journée de l’enfant est primordiale pour son développement et ses sentiments d’appartenance à l’aménagement de sa propre vie. La planification d’un programme d’alimentation, des heures de coucher et du  temps de jeu  peuvent s'accorder  soit à partir des jeux pédagogiques, des histoires durant la nuit, des méthodes créatives pour prendre le bain ou pour faire les devoirs…

Somme toute,  l’enfant a besoin d’un peu de temps, d’affection et de sollicitude pour dépasser le choc  et subir un développement normal malgré cette épidémie.