Plus qu’un rapport de fin d’études, un témoignage et une reconnaissance !

À la fin de son master, Marianne Ournac, étudiante internationale, témoigne de son expérience à l’USJ.
Mardi 5 novembre 2019

Française d’origine, ayant effectué sa formation de base à l’INALCO-Paris (Institut National des Langues et Civilisations Orientales), Mlle Marianne Ournac effectue un séjour au Liban, en mobilité à l’IFPO (Institut français du Proche-Orient), Beyrouth. Son amour pour le Liban et sa soif de connaître plus le pays du Cèdre, de même que le hasard d’une rencontre, l’ont menée à l’USJ, et plus précisément au « Master Histoire – Relations Internationales » de la Faculté des lettres et des sciences humaines.

Retour sur son expérience.

Pour la détermination dans son choix : rencontre décisive avec Mme Carle Eddé (chef du Département d’histoire-relations internationales à l’époque, actuellement vice-recteur aux affaires internationales), Marianne est convaincue que cette formation répond à ses aspirations.

Cherchant un moyen de financement, elle avait postulé à la bourse pour étudiants internationaux attribuée par l’USJ, un mois plus tard, elle apprit  du Service des relations internationales, qu’une bourse lui avait été attribuée pour suivre ses études en Master à la FLSH.

Accompagnement et suivi
À la fin de son parcours qui aura duré 2 ans, Marianne dresse un bilan plus que positif de son expérience à l’USJ, remerciant toutes les personnes qu’elle a côtoyées et qui ont contribué à son épanouissement, en particulier le « personnel administratif, les professeurs, qui m’ont donné l’occasion de vivre cette expérience d’études à l’étranger, et qui ont par leurs paroles, leur aide, leurs encouragements, leur soutien, toujours contribué à mon épanouissement dans ce Master. Je remercie tout particulièrement Mme Gladys Zein El-Hayek (Service des relations internationales – Rectorat), M. Christian Taoutel (Chef du Département d’histoire-Relations internationales), Mme Christine Babikian Assaf (Doyen de la Faculté des lettres et des sciences humaines), Mme Carla Eddé (Vice-recteur aux affaires internationales), Mme Siham Mourad (Faculté des lettres et des sciences humaines) et surtout M. Christophe Varin (mon directeur de mémoire). »

Qualité des cours et système d’évaluation
Vantant la qualité des cours dispensés, Mlle Ournac affirme avoir « acquis énormément de connaissances nouvelles et de savoir-faire en assistant aux cours et aux séminaires du Master, particulièrement en géopolitique, en histoire et en relations internationales ». Outre la qualité et la variété des cours décernés, le système d’évaluation des étudiants est selon elle remarquable : « Les devoirs sur table étaient assez rare, et l’accent était plutôt mis sur la recherche personnelle. Ainsi, les exposés, dossiers, notes de synthèse et autres devoirs à faire à la maison et nécessitant de la part des étudiants de chercher eux-mêmes les informations nécessaires étaient privilégiés » façon qui permet à l’étudiant de « développer une capacité de recherche, d’organisation des informations, de méthodologie et de présentation, et je suis convaincue que celui-ci garde plus durablement en tête les informations qu’il est allé chercher lui-même plutôt que ce qu’il retient par cœur du cours. »

La vie bouillonnante de la FLSH
La qualité des cours et le système d’évaluation ne sont pas les seuls facteurs qui ont tellement marqué Marianne. C’est toute l’ambiance de la Faculté des lettres et des sciences humaines qu’elle trouve exceptionnelle : « la vie bouillonnante de la Faculté des lettres et des sciences humaines, qui chaque semaine propose des conférences, débats, rencontres et autres colloques avec des personnalités intéressantes et de renom, tout comme des évènements culturels tels que des expositions, spectacles et concerts, promet un grand enrichissement pour tous les étudiants qui décident d’y participer. »

Université carrefour, interface culturelle
Dans sa Vision 2025, l’USJ « développe l’idée de l’Université carrefour qui se présente comme interface culturelle et qui cherche à aider individus et communautés à répondre à un souci fondamental du XXIe siècle : comment la communauté peut-elle devenir une communauté en relation avec d’autres et comment l’individu peut devenir l’individu en relation avec d’autres ? . »

Ce volet a été relevé par Marianne dans son témoignage, confirmant l’USJ dans la mission et vision qu’elle s’est fixé : « En terme de recherche, être sur le terrain est évidemment un atout considérable: je n’aurai pas pu traiter mon sujet de mémoire de manière aussi approfondie si je n’avais pas rencontré des acteurs locaux; inévitablement, mon mémoire n’aurait pas été le même si j’avais traité le même sujet depuis la France. Sur ce point, je tiens aussi à souligner l’aide précieuse apportée par les professeurs qui n’hésitent pas à nous mettre en contact avec des personnes susceptibles de nous aider pour nos recherches et notre travail de terrain . »

Tous nos souhaits de réussite à Marianne dans sa vie professionnelle !